Вручение 2009 г.

Страна: Франция Дата проведения: 2009 г.

Роман

Лауреат
Claudie Gallay 5.0
C'est a La Hague - un bout du monde a la pointe du Cotentin - que la narratrice est venue se refugier. El le arpente les landes, observe les oiseaux migrateurs... et Lambert, homme mysterieux et tourmente apereu un jour de tempete, et qui n'a cesse depuis lors d'eveiller sa curiosite.

Детективный роман

Лауреат
Кэрил Ферей 3.2

When the mutilated corpse of a young white woman is found in Cape Town's botanical gardens, seemingly the victim of a ritual sacrifice, troubled homicide detective Ali Neuman is called to the scene. He is chasing one false lead after another when a second corpse, again that of a white woman, is found. This time, the body bears signs of a Zulu ritual. A new evil has insinuated itself into this recently integrated city, and a new drug

Документальная книга

Лауреат
Jean-Paul Mari 0.0
Depuis trente ans, Jean-Paul Mari a couvert toutes les guerres du globe. Il a parcouru les champs de bataille, de l'Irak au Rwanda, du Moyen-Orient à la Bosnie, au Sierra Leone, en Somalie, au Sri Lanka. Il a rencontré des héros et des assassins, il a vu des massacres, des villages brûlés, des enfants égorgés dans leur école, des civils découpés devant leur maison. Les plus grandes peurs comme les courages les plus admirables ont passé sous ses yeux. Il raconte.Que peut-on faire de la douleur de la guerre ? Cette question obsédante, il l'a posée à des médecins qui tentent de rendre à la vie ceux qui ont vu la mort et s'en sont sortis " sans blessures apparentes ". Ceux-là ont vécu un moment d'effroi indicible, une rencontre avec la mort sous des formes diverses : une odeur, un regard, un cri, une vision insoutenable. Après quoi ils se sentent morts bien qu'ils soient vivants. Ils ne font plus partie de ce monde, ils peuvent devenir fous. Des milliers d'anonymes, mais aussi des écrivains, des peintres, des cinéastes ont subi et décrit cette expérience ultime. L'auteur aussi a vu la mort en face.Le premier mérite de Jean-Paul Mari est d'avoir affronté l'épouvante pour en témoigner. Le second, probablement plus grand encore, est d'avoir enquêté, réfléchi, analysé. Il n'a pas voulu que restent enfouis l'horreur et les traumatismes. Il a choisi d'écrire pour sortir de ces ténèbres-là et affirmer que la vie peut être la plus forte.